hors concours
Le lever du jour
En les prémices feutrées d’un matin nouveau
Le firmament dévêt son encre taciturne,
En l’abandon de sa pèlerine nocturne
Les rumeurs de la nuit s’effilent en écheveau,
Eclosant de l’Empyrée, sans aucun biveau,
L’astre de lumière en abandonnant Saturne,
Renonçant aux venteux augures de Vulturne,
Renait et s’étire en céleste baliveau,
Et dans cette aurore éternelle je m’éveille,
Cette lueur de vie inchangée m’émerveille,
Au fond de mon âme résonne l’Angélus,
Les confins de l’Eden en volutes azurées
Laissent percevoir les attraits d’un oculus
En ces matines inextinguibles et mesurées.
Le lever du jour
En les prémices feutrées d’un matin nouveau
Le firmament dévêt son encre taciturne,
En l’abandon de sa pèlerine nocturne
Les rumeurs de la nuit s’effilent en écheveau,
Eclosant de l’Empyrée, sans aucun biveau,
L’astre de lumière en abandonnant Saturne,
Renonçant aux venteux augures de Vulturne,
Renait et s’étire en céleste baliveau,
Et dans cette aurore éternelle je m’éveille,
Cette lueur de vie inchangée m’émerveille,
Au fond de mon âme résonne l’Angélus,
Les confins de l’Eden en volutes azurées
Laissent percevoir les attraits d’un oculus
En ces matines inextinguibles et mesurées.