Lorsqu l'ultime fleur au jardin vient d'eclore,
Nourrissant l'esprit,en ces jours peu certains,
Ressentant sur le cou le frisson de l'aurore,
Un espoir insense d'un tout dernier regain.
Voici l'or de l'automne en bellissimes gammes,
Avec le roux des bois, un verdâtre lointain,
Les chênes, les bouleaux sont autant d'oriflammes,
Et voilà le bolet, nouveau- ne du matin.
Parlant au ciel comme l'on cause à sa Muse,
Le promeneur prend un chemin mystique,
Son cœur est très léger, son l'âme confuse,
Les passereaux sifflent du bec des cantiques.
Du haut de la colline apparait la plaine,
Qu'ils sont beaux ces abris, dessous les grands sapins,
Le regard embue, le soumettant au domaine,
Reviennent de tendres souvenirs lointains.
Servant à Eole quelques nouvelles rimes,
Malgré l'âge, j'ai vingt ans des fois !
Pensant un jour m'approcher des cimes,
Pour écrire des vers au maître des lois....
Nourrissant l'esprit,en ces jours peu certains,
Ressentant sur le cou le frisson de l'aurore,
Un espoir insense d'un tout dernier regain.
Voici l'or de l'automne en bellissimes gammes,
Avec le roux des bois, un verdâtre lointain,
Les chênes, les bouleaux sont autant d'oriflammes,
Et voilà le bolet, nouveau- ne du matin.
Parlant au ciel comme l'on cause à sa Muse,
Le promeneur prend un chemin mystique,
Son cœur est très léger, son l'âme confuse,
Les passereaux sifflent du bec des cantiques.
Du haut de la colline apparait la plaine,
Qu'ils sont beaux ces abris, dessous les grands sapins,
Le regard embue, le soumettant au domaine,
Reviennent de tendres souvenirs lointains.
Servant à Eole quelques nouvelles rimes,
Malgré l'âge, j'ai vingt ans des fois !
Pensant un jour m'approcher des cimes,
Pour écrire des vers au maître des lois....
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